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Perte de la confiance en soi ? Les solutions en psychologie et en sophrologie

La psychologie permet de savoir notamment d’où vient le manque de confiance et la sophrologie qui est une méthode psycho-corporelle va permettre de stimuler est renforcée cette capacité à travers des pratiques d’exercices. Autrement dit, en sophrologie l’accompagnement a pour objectif d’aider la personne à trouver des solutions plutôt que de rechercher l’origine de son mal-être qui est plutôt de l’ordre de la psychologie.



Confiance en soi


Mais avant d’aller plus loin, commençons par une définition de la notion de « confiance en soi » et ce à quoi elle renvoie chez l’individu. La confiance en soi, c’est le fait d’être sur de ses compétences et croire en ses capacités a agir efficacement. Elle permet d’avancer sans douter de ses qualités et de ses capacités. Dans les faits, avoir confiance en soi pour aller de l’avant et s’affirmer cela s’apprend. Pour ce sentir bien au quotidien oser faire, et dire ce que nous voulons et être a l’aise en société. Ecoutez bon nombres de personnalités, et ils vous diront que la confiance en soi est le premier secret du succès.

Au contraire, le manque de confiance en soi se reflètent chez l’individu par la peur d’être jugé, d’être critiqué, peut générer du stress, des émotions anxiogènes, voir paralysantes, et engendre un profond mal-être. Le manque de confiance en soi est presque capable d’anéantir tout vos efforts et vous empêche d’atteindre vos objectifs professionnelles, et vous nui dans votre vie privée.


Pour une personne qui a confiance en soi, il est relativement aisée de prendre des décisions, de passer à l’action et surtout de s’y tenir. Cette anticipation positive de l’action, engendre une bonne stabilité émotionnelle et décisionnelle. On ne doute pas constamment de ces choix. Au-de la de la capacité à agir, la confiance en soi, joue un rôle très important quant à l’expression émotionnelle. Une personne qui a confiance en elle va exprimer ses émotions sereinement. Puisqu’elle a confiance en son jugement pour déterminer si ses émotions sont appropriés et si elles estiment être compétente pour les extériorisées d’une façon a adapter aux normes sociales. Elles ne se comporteras pas « bizarrement ».


Nous pouvons donc voir que la confiance en soi affecte toute une chaine d’actions et de réactions. Généralement un individu a des domaines de vies où il se sent en confiance. Comme par exemple conduire : « Je maitrise ma voiture, je sais me garer, faire un créneau. Je me sens capable de le faire ». Par contre je peux avoir des domaines où je ne me sens pas compétent. Dans lesquels, je n’ai pas confiance en moi. Exemple : « Je n’ai jamais fait d’escalade de ma vie. Je ne saurais pas la force de grimper, ou d’assurer une personne ». Là où le manque de confiance en soi peut être plus handicapant, c’est quand il touche un domaine de compétence transversal dans notre vie comme par exemple la perception de notre propre intelligence, notre impression que nous avons une mauvaise mémoire, Où la conviction que nous avons de mauvaises capacités à échanger avec autrui ,et, ou d’être apprécié par les autres. Par exemple, au bar si je pense que les autres ne m’apprécieront pas, et que je ne sais pas faire en sorte d’être agréable, d’être sympathique, l’impact va se ressentir dans toutes les facette de ma vie. Je vais avoir du mal à communiquer avec les personnes qui m’entourent, je vais avoir du mal à demander une augmentation, à faire valoir mon point de vue avec ma famille ou avec mes amis. Tout cela sont les conséquences possibles, mais fréquentes, du manque de confiance en soi.


Attachons nous un peu à la genèse du manque de confiance en soi.

En psychologie, la première chose que le thérapeute va se demander, c’est d’où vient le manque de confiance en soi ? Pour avoir une réponse qui soit générale, même si elle est différente pour tout le monde, il y a quand même un élément qui fait consensus : c’est l’origine de l’éducation et de la famille.

Par exemple la façon dont les échecs sont présentés à un enfant. Est-ce-que c’est désastreux ? Y a t’il une conséquence dramatique qui découle purement et simplement de ses actes ? La récompense est-elle la même si l’enfant a essayé ou si l’enfant a réussi ? Lui apprend on a tirer des conclusions et des leçons de ses difficultés et surtout de ses échecs ? Est-ce une finalité d’avoir échoué ?

D’ailleurs, nous observons souvent un élément inter-générationnel : des parents qui manquent de confiance en eux, ont des enfants qui seront plutôt inquiétés. Pourquoi ? Tout simplement car les enfants sont les premiers à observer les parents, et à reproduire leurs comportements. Et même si ces derniers, tentent de montrer différemment la réalité, les enfants la perçoivent, tout comme ils perçoivent les états émotionnels des parents. Par mimétisme, ils imaginent que pour une situation donnée, c’est le comportement et le ressenti adapté. Du coup, les enfants développent des regards souvent anxieux, sur leurs capacité a faire face à des situations inconnues et même parfois face à des situations connues.

L’école est l’autre pilier fondamental de la construction de la confiance en soi. La culture française d’enseignement insiste particulièrement sur les erreurs des élèves. On pointe du doigt, on souligne ce qu’il ne va pas. Par exemple, je me souviens du silence total en cours d’anglais. Le professeur demandant comment dit-on ceci en anglais, et personne ne répondant. Le blanc total dans la classe. Pourquoi ? Parce que si on faisait une erreur devant la classe, c’était perçue de manière bien pire que de se taire. On préfère passer en dessous, que de faire face au professeur désapprobateur de la petite erreur dans la phrase. Globalement, nous n’encourageons pas particulièrement au fait d’essayer. Du coup on se sent jugé, voir même parfois raillé, par notre ignorance.

La famille et écoles sont les deux sources principales qui expliquent en quoi il s’agit d’un problème endémique dans notre société.

Et si l’apprentissage confiance en soi débute dès l’enfance, nous avons à tout moment de la vie besoin de la développer ou de la consolider.


Comment la sophrologie permet elle de reprendre confiance en soi ?

Si la psychologie permet de savoir notamment d’où vient le manque de confiance, la sophrologie qui est une méthode psycho-corporelle va permettre de stimuler est de renforcer cette capacité à travers la pratique d’exercices. Autrement dit, en sophrologie l’accompagnement a pour objectif d’aider les personnes à trouver des solutions concrètes et quasi-immédiate. La prise en charge va permettre d’aider les personnes à retrouver confiance en eux, de stimuler les capacités de l’individu, s’il ne la ressent plus du tout, ou de la renforcer dans un domaine bien précis. Par exemple : pour répondre à un futur événement ou à un objectif, comme une prise de parole en publique, ou dans la vie personnelle.

La pratique de la sophrologie permet de se reconnecter à soi, de développer la prise de confiance en soi et de se donner des objectifs. Ainsi, chaque séance de sophrologie est un apprentissage, une découverte et une prise de conscience de soi. Il s’agit d’agiter le positif, aussi bien au niveau physique que mentale. L’accompagnement aide à repérer, et, à maîtriser les ressources et les capacités qui sont en nous. Car le manque de confiance en soi engendre des doutes, des blocages, du stress, de la timidité, des émotions désagréables. Mais ces difficultés auto-entretiennent également le manque de confiance. Nous avons tendance à le nourrir et par conséquent à se diffuser dans la personne. Le principal objectif en sophrologie est d’activée des prises de conscience qui participent à developper une meilleur connaissance de soi et donc développer confiance et estime. Notre cerveau est un système puissant qui nous permet de réaliser ce pour quoi on le programme. Je prends donc conscience des compétences que j’ai dans un domaine plutôt que de sur-généraliser « j’ai été nul aujourd’hui dans cette compétence ». C’est une fausse croyance ! « Ce jour là, j’ai eu un bug », mais j’ai des compétences et plus j’arriverai à conscientiser ce que je sais faire et ce que je ne sais pas su faire, plus la confiance en soi sera adaptée à mon niveau de compétence, et plus elle sera solide, et plus je pourrais m’appuyer sur elle. Nous quittons le cercle vicieux pour inscrire dans le cerveau un cercle vertueux.


Nous pouvons comprendre qu’à travers cette équation complexe qu’est la confiance en soi, nous pouvons être amené à travailler en tant que thérapeute sur différents éléments et essayer de comprendre comment ils s’imbriquent les uns aux autres, et essayer de déterminer la meilleur approche pour aider l’individu à progresser. En psychologie, Il faut donc d’abord faire le point, l’état des lieux sur les origines et les facettes que composent la confiance en soi. Evaluer leurs niveaux de fonctionnement, leurs interactions qu’ils ont entre eux. Et à partir de la choisir une ou plusieurs stratégies. C’est là que la sophrologie devient particulièrement pertinente et interessante. Parce que là où le psychologue peut déterminer de commencer sur l’image que la personne a d’elle même, le sophrologue pourra travailler sur l’image corporel et travailler directement par le corps. Ainsi, nous voyons bien que les objectifs sont proches, voir similaires, même si les techniques sont différentes. C’est un travail de synergie très épanouissant pour le thérapeute, mais également pour l’individu, car chacun voit les progrès rapidement.



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